Debussy, Respighi, Stravinsky
Marcos Madrigal & Alessandro Stella, piano 4 mains
With this first album by the exciting duet comprising the pianists Marcos Madrigal and Alessandro Stella, the works of Stravinsky, Debussy and Respighi plunge the listener into arrangements of three of the great orchestral scores of the 20th century. A celebration of colour and emotion.
In diesem ersten Album des begeisternden Pianistenduos, Marcos Madrigal und Alessandro Stella versetzt uns dieses Stravinsky-Debussy-Respighi Programm in die Arrangements von drei großen Orchesterseiten des zwanzigsten Jahrhunderts. Ein Feuerwerk an Farben und Empfindungen.
Premier album de l’enthousiasmant duo constitué des pianistes Marcos Madrigal et Alessandro Stella, ce programme Stravinski, Debussy et Respighi nous immerge dans des arrangements de trois grandes partitions orchestrales de la période moderne. Un festival de couleurs et de sensations.
Primo album dello straordinario duo composto dai pianisti Marcos Madrigal e Alessandro Stella, questo programma dedicato a Stravinskij, Debussy e Respighi ci trasporta in arrangiamenti di tre grandi spartiti per orchestra del XX secolo. Un festival di colori e di sensazioni.
LE PROGRAMME
Igor Stravinsky (1882-1971)
Le Sacre du printemps (Arr. Stravinski)
Claude Debussy (1862-1918)
Prélude à l’après-midi d’un faune, L. 87 (Arr. Ravel)
Ottorino Respighi (1879-1936)
Fontane di Roma, P. 106 (Arr. Respighi, P. 115)
CE QU’EN DIT LA PRESSE
« Une version fabuleuse, une réalisation impressionnante … Le raffinement concerne tous les degrés de l’expression, aussi bien dans la sauvagerie, la férocité, le côté taigneux qu’ils donnent au son, que dans le mystère … »
(Philippe Cassard, France Musique, 23 mars 2019)
« Rarement réduction pour piano à quatre mains du Sacre du printemps aura semblé si concentrée, capable d’en préserver la force primitive tout en y faisant miroiter les trouvailles harmoniques »
(Jérémie Cahen, Classica, Juillet-Août 2019)
« Secret d’une vision aussi aboutie, l’absence de toute sécheresse : les deux amis jouent dans les timbres, soignent une langue subtile – écoutez le babillage du Cercle mystique des jeunes filles – et déflagrent les épisodes les plus tonnants avec le délié et la puissance de gymnastes. Plus d’une fois, tout s’envole en de prodigieuses fusées qu’une captation parfaite saisit dans leur plein vol. »
(Jean-Charles Hoffelé, Discophilia, 17 décembre 2018)